Canadian Water and Wastewater Association eBulletin
Nouvelles de l'ACEPU
  

Ce n’est jamais vraiment tranquille à Ottawa, mais dernièrement, nous avons été très occupés à répondre aux questions nationales et aux programmes fédéraux.

  

Le programme W5 du réseau CTV a récemment diffusé un reportage sur les conduites en ciment-amiante. L’épisode qui a pour titre « Something in the Water » (quelque chose dans l’eau) est présenté comme un exposé d’une grave menace pour la santé de la collectivité.

  

Un objectif clé de l’Office de l’efficacité énergétique (OEE) de Ressources naturelles Canada (RNCan) vise l’amélioration de l’efficacité énergétique. La diminution de consommation d’eau mène à l’efficacité énergétique et à des économies de coûts grâce à une réduction de la consommation d’énergie de la collecte au traitement et à la distribution d’eau potable et des eaux usées en amont et en aval d’une résidence. RNCan cherche à mettre au point une estimation à jour de l’intensité énergétique pour la fourniture de services d’eau potable et d’eaux usées, ainsi qu’une estimation à jour du tarif variable moyen de ces services dans le secteur résidentiel au Canada.

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Projets fédéraux

Depuis sa réintroduction en février 2022, le projet de loi Loi sur le renforcement de la protection de l’environnement pour un Canada en santé, aussi connu comme projet de loi S-5, a été soigneusement étudié et révisé ; il a d’abord fait l’objet d’une première lecture par le Sénat et est en cours d’examen par le Comité permanent de l’environnement et du développement durable de la Chambre des communes. Le Comité a invité plus de 30 témoins, dont divers experts, organisations et collectivités, à partager leurs opinions et recommandations.

Santé Canada a publié des recommandations finales sur le bore dans l’eau potable. Une concentration maximale acceptable (CMA) de 5 mg/L (5 000 μg/L) a été établie pour le bore total présent dans l’eau potable, fondée sur la capacité de réalisation des traitements.

Le bore présent dans l’environnement provient à la fois de sources naturelles, comme les embruns marins et l’égouttement des roches et des sols, ainsi que de l’activité humaine. La principale source d’exposition au bore chez la population canadienne est l’alimentation, même si les produits de consommation peuvent aussi contribuer de façon notable à l’exposition. L’exposition par l’eau potable peut représenter jusqu’à 16 % de l’exposition totale au bore par voie alimentaire. Dans la plupart des sources d’approvisionnement en eau potable au Canada, les concentrations de bore sont inférieures à 0,1 mg/L. Le bore est surtout présent dans l’eau sous forme d’acide borique et de borates. Des effets néfastes pour le système reproducteur des mâles après ingestion de fortes doses de bore ont été systématiquement observés lors d’études sur des animaux. La valeur basée sur la santé (VBS) a été établie au moyen d’une approche prudente visant à assurer une protection contre les effets potentiels sur la reproduction.

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Nouvelles provinciales

La province a annoncé qu’elle s’engageait à remettre 180 millions de dollars de plus au Community Emergency Preparedness Fund (CEPF, fonds communautaire de préparation aux urgences) pour aider les gouvernements locaux et les Premières Nations à se préparer aux risques de catastrophes naturelles.

Afin de réduire l’exposition par l’eau potable, un objectif de 30 ng/L est proposé pour la somme des substances perfluoroalkyliques et polyfluoroalkyliques (SPFA) détectées dans l’eau potable.

Le comité sur la qualité de l’eau potable de l’ACEPU examine les objectifs proposés et soumettra ses commentaires, que nous partagerons avec nos membres une fois présentés. Le comité rédigera également une fiche d’information sur les substances SPFA/SPFO dans l’eau potable.

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