Plus tôt cette année, le gouvernement fédéral a mis sur pied le Conseil canadien des infrastructures ayant pour mandat de réaliser la première Évaluation nationale des infrastructures (ENI), évaluation qui appuiera les initiatives de logement du gouvernement. Le Conseil, composé d’experts du secteur de partout au Canada avec des spécialités dans de nombreux domaines, fera rapport au ministre du Logement, de l’Infrastructures et des Collectivités du Canada (LICC). Notre secteur de l’eau est très bien représenté par le Dr Graham Gagnon de l’Université Dalhousie, membre de longue date de l’ACEPU et de l’AWWA. Le membre du conseil d’administration, Doug McNeil, possède également de l’expérience dans les installations d’alimentation en eau et participera à la Conférence nationale sur l’eau potable et les eaux usées à Victoria la semaine prochaine.

 

L’ACEPU a été invitée à présenter ses commentaires à ce Conseil et les a soumis sous forme orale et écrite. En tant que conseillers, nous avons été consultés sur les points les plus importants de leur rapport, qui devrait être publié au début de novembre. J’étais très satisfait du message clé de ce Conseil qui a manifestement déclaré qu’on ne peut pas seulement bâtir des maisons sans l’infrastructure adéquate ou « infrastructure facilitant le logement ». Le Conseil énumère les trois plus importantes infrastructures facilitant le logement :

Il n’est pas précisé si elles sont classées en ordre de priorité, mais j’aime bien le fait que nous soyons en haut de la liste. Leur rapport sera remis au ministre et au Cabinet et, avec un peu de chance, aura un impact important sur les annonces du prochain budget (attendu le 4 novembre).

 

Préalablement au rapport complet du Conseil, il a publié des documents très intéressants sur ce qui a été entendu durant les consultations, et trois rapports sur l’état de l’infrastructure pour les trois secteurs importants. Vous pouvez télécharger les rapports avec les liens qui suivent :

 

Vous pouvez consulter le site du Conseil à conseilcanadiendesinfrastructure