Avec notre mission première en tête, notre principale raison d’être comme association, à savoir la défense du secteur de l’eau potable et des eaux usées à l’échelle nationale, nous nous sommes mis au travail dès le tout début de l’année. Nous participons entre autres au processus d’élaboration de politiques du gouvernement fédéral, qui publiera d’important documents relatifs aux politiques dans les prochains mois.

L’ACEPU, avec la contribution de notre comité sur la qualité de l’eau potable et d’experts sur le plomb dans l’eau potable, a rédigé un exposé de position, en réponse à la prochaine révision de la recommandation concernant le plomb dans l’eau potable. La nouvelle recommandation réduira passablement la CMA relative au plomb, ce qui aura des répercussions sur l’exploitation et les projets de renouvellement d’infrastructure de certaines installations d’utilité publique.

Afin d’élaborer un programme de conférence qui optimisera la participation de nos divers délégués et intéressera tout le monde, nous avons besoin que VOUS nous partagiez vos idées, concepts, expériences et recherches. Nous prévoyons organiser des séances transversales à tous les secteurs de notre industrie, qui feront le lien entre tous nos délégués, mais nous planifierons aussi des séances ciblant les enjeux nationaux en réponse à vos besoins et à intérêts professionnels

À présenter d’ici le 15 mars 2019

Le Bureau de l’audit et de l’évaluation (BAE) de l’Agence de Santé publique du Canada et Santé Canada ont distribué récemment un sondage aux intervenants concernés, leur demandant leur avis sur l’actuelle évaluation du gouvernement relative au Plan de gestion des produits chimiques (PGPC).

L’ACEPU examine le sondage et répondra au nom de ses membres. À l’occasion, des produits utilisés directement ou indirectement dans les usines de filtration de l’eau potable ou les stations d’épuration des eaux usées, ou qui sont prélevés dans les effluents, sont évalués en vertu du PGPC.

L’inondation en milieu urbain due aux conditions météorologiques extrêmes est le problème le plus coûteux et qui connaît la plus forte croissance au Canada. Les sinistres assurables au Canada sont passés d’une moyenne de 405 millions de dollars par année entre 1983 et 2008 à une moyenne de 1,8 milliard de dollars par année entre 2009 et 2017 (en dollars de 2017), la plus grande part de cette hausse étant attribuable aux inondations.

Le 19 décembre 2018, Rod Phillips, ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et des Parcs a publié son premier rapport annuel sur l’eau potable. Le plan propose de nouvelles mesures de protection des Grands Lacs, des poissons, des parcs, des plages, des terres humides côtières et de l’eau en réduisant les déchets de plastique et le phosphore responsable de la croissance des algues nuisibles, en s’attaquant aux sources et aux causes de la présence de bactéries le long des berges, en réduisant le rejet de sel dans les cours d’eau et en ciblant des secteurs vulnérables comme le lac Ontario.

Water UK a récemment annoncé la publication d’une nouvelle norme officielle pour déterminer quelles sont les lingettes non nuisibles qui peuvent être jetées dans les toilettes.

Les fabricants de lingettes pourront apposer le symbole officiel de l’industrie du secteur de l’eau « Jetables dans les toilettes » sur leur emballage s’ils réussissent de sérieux tests scientifiques. Ce symbole informera les consommateurs que les produits sont exempts de plastique et qu’ils se désagrègeront dans les égouts au lieu de boucher les canalisations et de s’ajouter aux amas de graisse qui causent les bouchons et les débordements d’égouts.

L’Association canadienne des eaux potables et usées présente les conférences sur LESAM et PI au congrès de l’IWA, qui se tiendra à Vancouver, Canada. Joignez-vous à nous pour ces conférences internationales conjointes qui attireront des spécialistes de gestion de la performance et des professionnels de la gestion des actifs de partout dans le monde. Ils représentent les entreprises publiques et privées de pointe du secteur de l’eau, les sociétés d’experts-conseils, les établissements universitaires et de recherche actifs dans les secteurs de l’eau potable et des eaux usées.