Naturellement, avec la fin de l’année qui approche, nous jetons un regard sur ce qui s’est produit dans le milieu de l’eau et ce que nous avons accompli comme association nationale. Au moment de rédiger un de mes rapports trimestriels pour le conseil d’administration et nos associations partenaires, je me suis dit que « pour une année presque sans histoire, il se passait bien des choses à l’ACEPU ».

Le comité sur la gestion efficace de l’énergie et de l’eau de l’ACEPU a eu une année très remplie. Il a achevé, avec le comité sur les eaux usées et de ruissellement, la rédaction d’un document sur l’étude de l’impact des broyeurs d’aliments sur les réseaux hydriques, l’augmentation de la demande en eau, en énergie et ses répercussions sur les canalisations et les systèmes d’épuration des eaux usées. Le document sera disponible pour consultation l’an prochain.

En raison du nombre accru de membres au comité sur la gestion efficace de l’eau, l’ACEPU crée un nouveau comité entièrement dédié à la gestion efficace de l’énergie. Ce thème est extrêmement important, car il s’applique aux nombreux aspects de l’exploitation et de la gestion des services d’eau. La consommation et la gestion efficace de l’énergie ont une incidence énorme sur les coûts du service. La gestion de la consommation et la mise en place de solutions énergétiques vertes aident également à la réduction des émissions de carbone. Pour joindre le nouveau comité, veuillez communiquer avec Kara Parisien à kparisien@cwwa.ca.

Plus tôt cette année, l’INRP a publié un document pour consultation rapide sur les modifications à la déclaration de rejets dans l’eau à l’INRP. Ces modifications auraient forcé tous les secteurs à l’obligation de déclarer les rejets sur la base d’un seuil d’émission, la DBO, la DCO et toutes les substances inscrites à l’INRP, peu importe les seuils de rejet.

Barry Orr, de la Ville de London, membre de l’ACEPU et représentant du Municipal Enforcement Sewer Use Group (MESUG) et Fatih Karadagli, professeur agrégé en génie de l’environnement à l’Université Sakarya, de Turquie, ont présenté un rapport à Pêches et Océans Canada sur les impacts des produits jetables dans les toilettes sur les infrastructures d’eaux usées et les milieux aquatiques.